Et donc, oui, on va sortir plus de 6500€ / ménage pour investir dans la guerre, soit les 34 milliards annoncés (34M€ / 5199m de ménages = ± 6540 €/ménage). Youpie ! Hourra !
Alors, voilà une analyse assez intéressante qui nous est proposée par Michel Collon ...
Et il y a convergence avec l'analyse de Caroline Galactéros ...
Et si on me demande ce que j'en pense, ben je dirai que l'État Profond, issu d'un gouvernement mondial qui ne dit pas son nom, a gagné encore quelques mois à générer la peur et à créer les prétextes pour vendre encore plus d'armes, ce qui est d'ailleurs l'enjeu de la réunion actuelle de l'OTAN.
Il me faut rappeler au tout venant que l'Iran a participé au programme nucléaire et l'a financé même car, en effet, la participation de l’Iran au programme nucléaire international sous le règne du Shah Mohammad Reza Pahlavi (années 1950-1979) s’inscrivait dans une dynamique de modernisation, de prestige national et de coopération étroite avec les puissances occidentales, notamment les États-Unis, la France et l’Allemagne. Wow ! Et, effectivement, le programme nucléaire iranien a débuté dans les années 1950 avec l’aide des États-Unis, dans le cadre du programme « Atoms for Peace » lancé par le président Eisenhower. En 1957, un accord de coopération nucléaire civile est signé entre l’Iran et les États-Unis, menant à la construction du premier centre de recherche nucléaire à Téhéran. Ah, vous ne le saviez pas ? Et bien, ça alors ! L’Iran devient même signataire du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) en 1968 et ratifie le traité en 1970, s’engageant ainsi à ne pas développer d’armes nucléaires et à placer ses activités sous le contrôle de l’AIEA. Plus et mieux ... laissez-moi développer !
Dans les années 1970, le Shah ambitionne de doter l’Iran d’un vaste parc nucléaire pour produire jusqu’à 23 000 mégawatts d’électricité, malgré les importantes réserves pétrolières et gazières du pays. Il s’agit à la fois de diversifier les sources d’énergie et d’acquérir une technologie de pointe, symbole de modernité et de puissance nationale.
L’Iran signe des contrats avec l’Allemagne de l’Ouest (Kraftwerk Union/Siemens) pour la construction de deux réacteurs nucléaires à Bouchehr, ainsi qu’avec la France (Framatome) pour d’autres réacteurs et avec le consortium Eurodif pour l’enrichissement de l’uranium. L’Iran investit plus d’un milliard de dollars pour obtenir 10% de la production d’uranium enrichi d’Eurodif. Oui, vous avez bien lu : enrichissement de l'uranium ! Ah bon ? Quoi, l'Iran a payé l'Occident pour construire des centrales ? Oui, et re-oui !
Cependant ... si officiellement, le programme vise la production d’électricité et le développement scientifique, cependant, des documents et témoignages de l’époque révèlent que les ambitions du Shah allaient au-delà des seuls usages civils : le Shah voulait garder l’option d’un programme militaire, au cas où la situation régionale l’exigerait.
Et quand cela dérape-t-il en fait ?
Ben ça dérape avec le renversement du Shah. De fait, le Shah d'Iran et sa magnifique épouse étaient des corrompus et des ... hmmm ... dictateurs ! Le régime du Shah était autoritaire, et de plus en plus, s'appuyant sur la police secrète (SAVAK) pour réprimer violemment toute opposition politique. Les arrestations arbitraires, la torture et la suppression des libertés publiques ont alimenté une haine croissante envers le pouvoir. Par ailleurs, comme évoqué, les structures de l'État iranien abritaient une corruption généralisée au sein de l'administration et de l'entourage du Shah. Corruption va avec argent et, de fait, l'enrichissement d'une élite proche du pouvoir, a encore accentué le ressentiment populaire, surtout dans un contexte où une grande partie de la population restait pauvre et marginalisée.
Alors, il y a eu la révolution ! Et comme si les raisons invoquées n'étaient pas suffisantes, et bien il y avait aussi un volet religieux et culturel dans lequel s'est engouffrée l'opposition : modernisation, droits des femmes, industrialisation, ... une modernisation perçue comme trop rapide et en rupture avec les traditions, provoquant un profond malaise dans une société encore très attachée à ses valeurs religieuses et culturelles. Et tout cela ne se situe pas bien loin du renversement de Mossadegh en 1953, suite à une opération orchestrée par les Britanniques et les Américains avec l'aide active de la CIA : c'est l'opération Ajax. Ouïe, que kwe ? Bon, je vous explique ... Mossadegh avait été élu démocratiquement par le peuple iranien. Il a eu l'audace de nationaliser les ressources pétrolières du pays. Aie aie ... pas possible cela ! Donc, on le renverse ! Et on met un pantin à sa place : le Shah ! Ah donc, on renverse un président démocratiquement élu pour mettre à sa place un gars qu'on arrose et, dès lors, qu'on contrôle ? Ben oui ! Cela vous étonne de la part de notre bel Occident ?
Tout cela vous donne le contexte ... Et puis, à la fin des années 1970, l'Iran est frappé par une forte inflation, le chômage augmente et des mesures d'austérité aggravent la situation. Une grève générale paralyse l'économie, tandis que des manifestations massives, réunissant parfois des millions de personnes, se multiplient à travers le pays. La révolution est alors en marche et l'Iran qu'on voulait bien aider du temps du Shas est désormais l'ennemi à abattre.
ICI, JE DOIS ENCORE FOURNIR QUELQUES DÉTAILS.
Et donc, où en sommes-nous finalement ? Michel Collon nous donne-t-il un élément de réponse ici ?
Hier, sur LinkedIn, j'ai été surpris qu'une personne me fasse part de son espoir de voir une suite à un de mes articles. Je lui l'ai promise et de fait la suite de cet article c'est justement la timeline qu'on peut voir ici. Je vais donc reprendre cet article et le prolonger par ce qui est ici. À bientôt, cher lecteur.
Je reviens vers la timeline de TRQL Radio pour faire part de mes réflexions sur le monde, pour fixer dans des écrits ce qui me bouleverse ou m'intéresse ... après m'être à nouveau perdu pendant plusieurs mois dans les méandres de Facebook, véritable merde à censure. Nous sommes le 25/06/2025 23:01:16.
Je ne sais pas si ça commence bien. Ce qui me chagrine, ce sont ces histoires de Canada, de Panama, et de Groenland.
Ce qui me plaît, mais faudra voir un peu plus loin, c'est Israël - Hamas. Cela me plaît mais je reste vigilant sur les réelles intentions
Ce que j'ai apprécié, c'est le décret sur les genres. Incroyable qu'on doive en arriver là. Très très bien aussi de quitter le panier de crabes de l'OMS.
Faudra attendre des choses plus concrètes avec l'Ukraine, la Russie, Poutine. L'énergie aussi. Les taxes à l'importation, le monde financier, la finance internationale, les banques, la Chine, les BRICS, le dollar, l'Iran, ... Je me demande encore ce que les intérêts obscurs de groupes wokistes européens vont être garantis par l'UE. Je me demande ce que vont devenir les ±300 milliards volés aux Russes ? Ça va être terrible. pour Euroclear, j'imagine. Je me demande ce que va devenir l'euro fasse au dollar (on a perdu pas mal de valeur en faveur du dollar depuis le mois de septembre 2024 - les derniers 6 mois ont été catastrophiques). Je me demande comment va évoluer la balance commerciale de l'UE (à peu près 14 milliards de boni aujourd'hui alors que celui de l'Allemagne est de 19 milliards en boni ... ce qui veut dire que l'UE, hors Allemagne, est en perte. Si vous cumulez l'Italie -- en boni de 4.2 milliards -- avec l'Allemagne, la situation est encore pire. Qu'est-ce que cela va donner tout cela ? (https://fr.tradingeconomics.com/country-list/balance-of-trade?continent=europe). Car pendant que l'EUrope prend des décisions vraiment importantes (la "siamosisation" des bouchons et des bouteilles de plastique), les États-Unis, eux, parlent de conquérir Mars. Je pense qu'on a là un trait assez juste de l'imbécillisation de nos élites européennes.
Mais les représentants divers des intérêts du Gouvernement Mondial Profond n'attendent rien. Ils préfèrent tous taxer Elon Musk et Donald Trump de Nazis en isolant des extraits de vidéos dont ils changent le contexte pour convaincre leurs lecteurs de leurs arguments spécieux. Tous se révèlent ainsi doucement à être les bénéficiaires de l'Etat Profond. Période intéressante.
Encore un mot sur la paix en Ukraine. J'ai cru mal entendre lorsque Trump prétendit que les Russes avaient eu un million de morts et que leur economie était en ruine. Soit il est mal informé soit il est maboul. En tout cas, je ne vois pas les Russes se précipiter à ses pieds pour qu'il se hâte un à entamer un dialogue de paix. Je pense qu'il faut à Donald un peu plus de temps pour élaborer un plan de paix crédible ce qu'il a finalement admis lui-même puisqu'il a nommé le lieutenant général à la retraite, Keith Kellogg, vétéran du Vietnam âgé de 80 ans, comme envoyé spécial de et chargé de mettre fin au conflit en 100 jours. Ses déclarations à l'emporte-pièce doivent donc faire partie de son arsenal de négociateur. Mais il y a plus fort car, son émissaire spécial ne semble pas très fermes sur ses arguments : l'homme semble avoir des chiffres aussi âgés que lui ce qui fausse considérablement sa marge de manœuvre. 'fin bref, bardaf ... c'est l'embardée avant même de prendre la route !
Je reste cantonné à un vocabulaire scatologique. Geo .. c'est la merde ! Une grosse merde qui va m'obliger à faire un grand feu avec les numéros que je possède dans ma bibliothèque.
Pour comprendre le tournant qu'a pris Geo, il faudrait que je me renseigne. Mais non ... ça pue vraiment trop cette pourriture !
Toutes ces grandes sociétés technologiques doivent être mises à l'écart. Il est indispensable de se passer de leurs services le plus possible.
Petite emphase sur Mailchimp qui peut vous couper votre compte sans crier gare au cas où ce que vous auriez à diffuser ne correspond pas à la ligne narrative des États Profonds de tous bords. Ne faites absolument pas confiance à ces merdes et traitez-les pour ce qu'ils sont ... DE LA MERDE. !
Saint-Nicolas 2024 .... La merde européenne pue partout en (1) créant l'obstruction dans le procès intenté à la chienne qui est à la tête de la bande de corrompus européens, je nomme Cruella von der Lies (2) les jeux d'influence en Roumanie où ils sont en train d'étouffer un processus démocratique qui ne lui est pas favorable et (3) dans les accords Mercosud. Que l'on n'oublie pas non plus ce qui se passe en Géorgie ! Mais qui donc va enfin sortir le flingue ?
.Les États-Unis auraient, de manière informelle, donné le feu vert à l'Ukraine pour utiliser les missiles ATACMS afin de cibler le territoire russe. Cette autorisation reste officieuse, car les déclarations officielles maintiennent que la ligne directrice n'a pas changé : il n'est pas question de permettre l'utilisation de ces missiles pour des attaques sur le sol russe. La raison en est simple : les ATACMS nécessitent une opération par du personnel américain, ce qui ferait des États-Unis des participants directs au conflit. Une telle implication entraînerait automatiquement l'OTAN dans le conflit ukrainien, risquant ainsi d'escalader vers une confrontation mondiale. On pense, dès lors, que l'autorisation aurait été formulée par l'État Profond et les rouages d'une presse américaine à ses ordres.
Les Britanniques, dans la foulée, ont donné l'autorisation d'utiliser leurs missiles Storm Shadow et les Français, les Scalps.
Toute la scène est là.
Forts de la décision d'autoriser l'Ukraine à utiliser les ATACMS — mais je répète que ceci est une déclaration non-officielle, probablement vectorisée par l'État Profond américain — les Ukrainiens ont procédé au tir de 6 missiles ATACMS dont 5 lnt été interceptés par les Russes, le 6ème ayant été endommagé mais ayant provoqué quelques dégâts quand même.
Suite à ces événements, Poutine a établi un décret modifiant la doctrine russe de l'utilisation de l'arme nucléaire. Dans la foulée, la Russie a envoyé un missile hypersonique sur Dnipro.
Le lancement de ce missile a été précédé par une mise en garde aux États-Unis les informant que le missile balistique n'était pas porteur d'une charge nucléaire. Au fond, une forme d'ultime avertissement : "Imaginez qu'e ce missile porte une charge nucléaire, essayez de l'arrêter !"
Bien sûr, le missile n'était pas arrêtable !
Nous venons d'assister à l'essai du premier missile nucléaire chargé à blanc !
Et pendant ce temps, l'OTAN par la voix de l'amiral Rob Bauer, président du Comité militaire, appelle les entreprises à se préparer à un scénario de guerre ...
"Si nous pouvons garantir que tous les services et biens essentiels peuvent être fournis quoi qu'il arrive, alors c'est une composante centrale de notre dissuasion"
Le chef de l'OTAN invite les entreprises à se préparer à des scénarios de temps de guerre
Le sénateur républicain américain Lindsey Graham a émis des menaces directes envers les alliés des États-Unis concernant les mandats d'arrêt de la CPI contre Netanyahu et Gallant[1].
États-Unis : Menaces visant les alliés qui exécuteraient les mandats d'arrêt de la CPI contre Netanyahu et Gallant
- «À tout allié, Canada, Royaume-Uni, Allemagne, France, si vous cherchez à aider la CPI, nous vous sanctionnerons», menace le sénateur américain Lindsey Graham, dans une interview accordée à Fox News - Anadolu Ajansı
Ce fou furieux est ... fou furieux. C'est lui qui déclarait notamment être parfaitement heureux de la situation en Ukraine où les États-Unis affaiblissaient la Russie à coup de vies ukrainiennes !
Mandats d'arrêt de la CPI : "S'ils font cela à Israël, nous serons les prochains", déclare un sénateur américain
Antony Blinken indique que la Maison Blanche contribuera aux travaux du Congrès américain pour réagir à la décision de la Cour pénale internationale
Il a spécifiquement averti le Canada, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France qu'ils seraient sanctionnés s'ils aidaient la CPI à exécuter ces mandats.
Graham a été catégorique dans son ultimatum, déclarant que les nations alliées devront "choisir entre la CPI et les États-Unis". Cette position s'inscrit dans une inquiétude plus large exprimée par le sénateur, qui craint que si la CPI peut agir contre Israël, les États-Unis pourraient être les prochains visés.
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken s'est montré réceptif à ces préoccupations, s'engageant à travailler avec le Congrès pour développer une "réponse appropriée" aux actions de la CPI.